METAMORPHOSE
Comme un souffle, la lumière vient se glisser entre la matière. Elle la traverse et la modifie, la frôle et la caresse. Jouant avec la transparence, la lumière joue de son pouvoir à créer l’ombre. Elle nous fait perdre la forme de l’objet - vêtement - qui ne devient qu’une entité entourant le corps. On en perd les limites et les découpes, le vêtement devient un terrain de jeu pour le mouvement et la lumière qui l’accompagne. Ce vêtement est un vêtement mobile, il entraine une attitude poétique, raffinée et délicate. Faisant preuve d’une immense légèreté et donc d’un très grand confort pour son utilisateur. Ce vêtement devient une seconde peau, un hora nous entourant sans jamais nous contraindre.
L’habit est volage et transparent, brumeux et indéfini. Il est comme un nuage accompagnant le corps. À travers lui, grâce à cette matière fluide et mobile, la lumière est matérialisée. La lumière devient une entité en volume, à la limite du palpable. Le fait que ce vêtement- objet soit en mouvement nous renvoie aux variations possible d’ombres et de lumières d’une source lumineuse.
Matérialisant l’air et la lumière, on donne corps à l’impalpable.
Le corps devient volume, une forme, une ombre.
La lumière n’est visible par nos yeux que quand elle rencontre une surface solide.
L’habit est volage et transparent, brumeux et indéfini. Il est comme un nuage accompagnant le corps. À travers lui, grâce à cette matière fluide et mobile, la lumière est matérialisée. La lumière devient une entité en volume, à la limite du palpable. Le fait que ce vêtement- objet soit en mouvement nous renvoie aux variations possible d’ombres et de lumières d’une source lumineuse.
Matérialisant l’air et la lumière, on donne corps à l’impalpable.
Le corps devient volume, une forme, une ombre.
La lumière n’est visible par nos yeux que quand elle rencontre une surface solide.
Janvier - Mars 2018 _laboratoire conception_BTS MODE
