Ce jour d’automne, le soleil était au firmament de sa lumière. Et Mademoiselle voulait en profiter, s’amuser avec lui, avec les feuilles mortes au sol. Elle avait gardé l’air mutin qu’ont les enfants. Seule, au milieu du parc du domaine familial, elle riait, elle chantait. Qui aurait pu dire, en la voyant s’émerveiller de la sorte, qu’elle était la fille d’un riche Prince anglais.
Quand je l’ai rencontré l’année dernière, je ne l’aurai jamais imaginé, tant elle ressemblait à toutes les jeunes femmes de son âge. J’étais loin d’imaginer que notre rencontre dans ce café du centre-ville allait se terminer en entretien d’embauche, pour être à ses côtés jour et nuit, son garde du corps en somme. Je suis pourtant un type tout ce qu’il y a de plus classique, pas vraiment sportif, et plutôt passe-partout. Et pourtant, c’est grâce à cela que j’ai été recruté.
Depuis la terrasse principale du château, je l’observais. Elle me vit et vint à ma rencontre, courant tout sourire aux lèvres. Elle se mit à tournoyer autour de moi, tout en riant aux éclats. Saurais-je un jour ce qui la rendait si heureuse ? Pas sûr. Telle était Mademoiselle, expressive mais si secrète.
Quand je l’ai rencontré l’année dernière, je ne l’aurai jamais imaginé, tant elle ressemblait à toutes les jeunes femmes de son âge. J’étais loin d’imaginer que notre rencontre dans ce café du centre-ville allait se terminer en entretien d’embauche, pour être à ses côtés jour et nuit, son garde du corps en somme. Je suis pourtant un type tout ce qu’il y a de plus classique, pas vraiment sportif, et plutôt passe-partout. Et pourtant, c’est grâce à cela que j’ai été recruté.
Depuis la terrasse principale du château, je l’observais. Elle me vit et vint à ma rencontre, courant tout sourire aux lèvres. Elle se mit à tournoyer autour de moi, tout en riant aux éclats. Saurais-je un jour ce qui la rendait si heureuse ? Pas sûr. Telle était Mademoiselle, expressive mais si secrète.
