Cette sculpture qui tourne avec le vent se veut naïve, et plutôt low-tech.

Une hélice issue de la technologie humaine et une plume issue de l’évolution. Deux symboles forts pour une même utilité, qui questionnent nos manières de faire acte de technologie, au regard du reste du monde vivant auquel nous appartenons et duquel nous dépendons.

Face aux grandes problématiques écologiques, n’aurions-nous pas meilleurs temps de nous demander si les bonnes manières et solutions technologiques ne résident pas en grande partie dans l’évolution de nos consciences, le changement de nos imaginaires et la qualité de nos relations avec les autres vivants plutôt que dans la surenchère technologique ?